« Le bonheur est possible même si la souffrance existe. Autour de vous, vous voyez des forêts détruites, mais vous voyez aussi des arbres vigoureux, beaux, alors vous pouvez vous réjouir de la présence de ces arbres-là, et avec cette joie vous aurez assez d'énergie pour empêcher la destruction des autres arbres. Il faut de la joie pour aider le monde. » Thich Nhat Hanh

 

 

Le monde aujourd’hui peut nous paraitre bien hostile malgré notre confort extérieur et l’avenir sombre. La vie est en danger, l’humanité fragile. Face à cela, nous réagissons peut être en refoulant nos émotions, en montrant notre colère, en restant figé.

Transformer notre lien aux autres, à soi et au monde est une clé de la transformation de notre monde.

 

Qu’est ce que c’est ? :

A travers une expérience faite de pratiques, de rituels et d’expériences questionnant notre rapport au vivant, nous retrouvons notre place dans ce monde chahuté et vivre les crises avec résilience et créativité. C’est Joanna Macy, activiste de la paix et du vivant, spécialiste de l’écologie profonde et de l’écopsychologie qui a créé dans les années 1970 le Travail Qui Relie, ce processus très puissant, connu des milieux militants de Tchernobyl à la Colombie en passant par les Etats Unis et maintenant l’Europe Occidentale.

Il permet revenir à nos émotions, de les traverser et de les partager, de modifier notre manière de voir l’avenir pour repartir vers l’action avec plus de détermination et le soutien d’un groupe. Il combine des approches de systémie, d’écologie profonde, d’engagement citoyen et d’intelligence collective.

 

• S’enraciner dans la gratitude : ouvrir nos perspectives, se souvenir de tout ce qui va bien 
• Honorer notre peine : nommer nos besoins, nos émotions face à l’ampleur des crises collectives
• Porter un nouveau regard : découvrir les ressources à notre disposition, développer notre créativité