Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle n'en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée. Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…
Conception & Réalisation : La BaZooKa (Sarah Crépin & Etienne Cuppens)
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques Paisaje Cubano ConRumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog) Tout l’Amour (Dario Moreno / Beethoven).
Diffusion / ADMINISTRATION : Mathilde Mahier / Margaux Roland / Anne Massot
Résidences : MuMa, Musée d'art Moderne André Malraux, Le Havre
REMERCIEMENTS : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie, dir. Emmanuelle Vo-Dinh / Kiddam Riidim Collectif 1.6 / Emilie Podevin / Diane Ribouillard & Louise Lorieux
Public : tout public
Durée : 40 minutes
© Alban Van Wassenhove