« Détendez-vous, c’est tout » dit-il en s’asseyant près du gong « et laissez le son du gong vous emmener où vous avez besoin d’aller ». Je fermais les yeux. Alors, dès le premier coup de mailloche, l’infini si mit à tempêter dans mes oreilles… Vague après vague, le son m'emmenait dans un voyage qui n'appartenait qu'à moi". - Methab Benton-