À sa naissance, il écoute Cabrel et Souchon. Sept ans plus tard, il joue au piano Schumann et Debussy. Huit ans plus tard, il découvre que des gens écoutent Schumann et Debussy.
Sous le choc, il retourne sur son piano et essaie de jouer Cabrel et Souchon. Depuis, Bastien Lucas tente de réconcilier musique savante et chanson populaire entre autres contradictions humaines. Des cantates de poches amplifiées, entre Boogaerts et Sheller, qu'il présente en solo sur scène. Et ça rime.