Au piano,un homme seul lit letexte,comme en surplomb. Dans sa détresse, il appelle le Christ et lui présente un nouveau chemin de Croix, les rues de la ville et son humanité grouiIlante.
Lui succède une femme qui s’empare des mots de La prose du Transsibérien. Est-elle la petite Jeanne, des années plus tard, parlant de sa propre adolescence, de ce terrible voyage où « les démons sont déchaînés/ Ferrailles/ Tout est un faux accord / Le broun roun-roun des roues/ Chocs/ Rebondissements/ Nous sommes un orage sous le crâne d’un sourd… »?
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