Les musiques des mondes d’Europe, lorsqu’elles posent leurs valises à Stereolux, se font électriques, percutantes, festives. Cette soirée dessine un panorama qui, de la Turquie à l’Auvergne, montre avec vigueur un visage contemporain de la diversité musicale trad’actuelle.

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Derya Yıldırım & Grup Şimşek

Musique turque psychédélique

Derya Yıldırım & Grup Şimşek repose sur le talent d’une jeune chanteuse multi-instrumentiste turque, magnifié dans un quartet électrique composé d’artistes venant des quatre coins de l’Europe. L’ambiance est psychédélique, pop, aux références musicales plurielles. Repéré par la presse internationale, salué par les médias français (Radio Nova, Radio France…), Derya Yıldırım & Grup Şimşek fait une synthèse contemporaine des musiques populaires turques. Le groove et une certaine poésie mélancolique irriguent une musique mêlant chant, basse, claviers, saz, batterie…

Distribution : Derya Yıldırım : chant, saz, balglama – Helen Wells : batterie – Graham Mushnik : synthés, claviers, basse – Antonin Voyant : basse, guitares, flûtes

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Ramdam Fatal

Le diable dans le bal

Ramdam Fatal est né de la rencontre entre quatre musicien·ne·s issu·e·s de la compagnie l’Excentrale et le trio Ultra Zouk. Les musiques traditionnelles auvergnates se trouvent bousculées dans une joyeuse frénésie, pour un concert vociférant, flamboyant, nous entraînant dans une folie collective, un hommage aux nuits blanches, à l’exubérance d’un carnaval. On pense notamment à l’Orchestre Tout Puissant Marcel
Duchamp et aux textes surréalistes face à ce concert mêlant cuivres, violons, voix, basse, clavier et batterie.

Distribution : Félix Gibert : direction, trombone – François Arbon : saxophone basse, trombone, basse – Clémence Cognet : violon, trombone, voix – Romain « Wilton » Maurel : textes, violon, voix -Benjamin Bardiaux : claviers, voix – Rémi Faraut : batterie, voix – Manu Siachoua : basse, voix – Théophane Bertuit et François Blondel : régie son, régie lumière, mise-en-espace