Dans cette période politique (toujours) floue, les financements aux structures associatives sont rognés et leurs capacités d’action et d’utilité auprès de leurs publics sont limités. Les tiers-lieux sont aussi bien concernés. Leur modèle hybride ne les empêche pas de compter sur des subventions publiques à 42% de leurs ressources pour leur fonctionnement et à 58% pour leurs investissements (source : recensement 2023 sur l’Ile-de-France).
Ainsi, les tiers-lieux, au-delà d’être des espaces facilitant les mobilisations (ce qui a pu être le cas le 10 septembre), s’organisent pour se protéger mutuellement et assurer la continuité de leurs actions, en toute indépendance.
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