Au beau milieu de ce qui semble un ramassis fortuit de rebuts, deux comédiens font défiler sous nos yeux toute une clique d’animaux curieusement humains.
D’un journal, d’un carton ou d’un sac en plastique, ils font surgir toute une galerie cocasse et étonnante où chaque personnage cache un animal et chaque animal… un homme.
Chaque fable donne lieu à une partition unique qui est dispensée de manière éblouissante (…) par deux officiants époustouflants. (…) Le spectateur est emporté dans un salutaire maelstrom scénique qui déride les zygomatiques et décape les neurones. Froggy’s Delight
©Delphine Beaumont