Beaumarchais ne recule devant rien pour critiquer la société du XVIIIème siècle, et compose une pièce insolente qui nous pousserait presque à faire la révolution.
Dans « La Folle Journée » de la famille Almaviva, tous courent éperdument après leurs désirs, leurs bonheurs : Figaro veut épouser Suzanne, le Comte voudrait en faire sa maîtresse. Chérubin se passionne pour toutes les filles et femmes du château, et aime par-dessus tout la Comtesse sa marraine. Bazile a des vues sur Marceline qui, elle, veut épouser Figaro. Au cours de cette journée pleine de quiproquos et de rebondissements, les domestiques n'hésitent pas à se battre contre leurs maîtres et les femmes cherchent à prendre leur destin en main.