Réincarnation contemporaine du personnage mythique, Là, se délasse Lilith..., Manifestation d’un corps libertaire, s’appuie sur la figure rebelle de Lilith pour explorer avec irrévérence les territoires poreux entre servitude et liberté. Chaotique, sensuelle, attirante et urticante, Lilith se désentrave de tout lien et conduit une progressive libération du corps comme du mouvement, sauvage et organique. En tandem avec l’univers musical d'Uriel Barthélémi, Marinette Dozeville questionne sur fond de domination / soumission les enjeux de pouvoir et de censure / auto-censure au plateau.