Paul appelle sans vergogne sa vieille tante Violette « la soupière », un surnom aussi méprisant que pratique quand il complote avec la bonne de cette dernière, une jeune fille aussi effrontée que vénale.
Violette, vieille dame au caractère d’acier, refuse obstinément de vendre ses vignes familiales à une société américaine. Mais sans cette vente, Paul est cuit : c’est la faillite assurée de son entreprise de robinetterie.
Dès lors, coups bas, entourloupes foireuses et quiproquos délirants s’enchaînent. Tous les moyens sont bons pour faire craquer « la soupière » et lui arracher son trésor viticole.