Nassim Mellah, c’est un uppercut d’énergie. Chaque passage sur scène, c’est un sprint contrôlé, un raz-de-marée d’émotions déguisées en vannes.

 

Il puise dans ses galères, ses joies, ses rencontres inattendues, et en fait des sketchs qui claquent comme des vérités qu’on n’osait pas dire à voix haute.

 

Chanteur, beatboxer, imitateur… Nassim, c’est un caméléon en roue libre, capable de switcher d’un personnage à l’autre sans prévenir. Une sorte de tornade habitée, qui déborde de voix, de gestes, et d’anecdotes délicieusement borderline.

 

Il ne joue pas un rôle. Il les joue tous. Avec la fougue de ceux qui n’ont jamais su se taire.

 

Parodies, impros, tranches de vie, mimes, voix off… Sur scène, tout devient terrain de jeu. Et tant pis si ça déborde, tant mieux si ça bouscule.

 

Et s’il fallait lui coller une étiquette ? "Comique", paraît-il… Comme si ce joyeux bordel rentrait dans une case.