Pour son concert de printemps intitulé " Nouveaux Mondes ", l’Orchestre Philharmonique de l’Oise a choisi d’associer la Symphonie du Nouveau Monde, d’ Antonin Dvorak, à la Rhapsody in Blue de Georges Gerswhin.

 

La symphonie du Nouveau Monde est une des œuvres les plus connues et des plus appréciées du répertoire orchestral. Dès sa création à Carnegie Hall en 1893, sa grande popularité, toujours actuelle, fut immédiate, . À moitié slave, à moité américaine, c’est la part américaine de cette œuvre - Neil Armstrong l'emporta sur la lune en 1969 - qui motive son association à la Rhapsody in Blue que Gerswhin a initialement voulu appeler "Rhapsodie américaine".

 

Comme il l'écrit lui même, Gershwin a entendu sa Rhapsodie "comme une sorte de kaléidoscope musical de l'Amérique — de son grand melting-pot, de son dynamisme national inégalé, de son blues, de sa folie métropolitaine".

 

C'est Anastasia RISIKOV, pianiste ukraino-canadienne habitant Paris, lauréate de l’ARTIST DIPLOMA de l'École Normale de Musique de Paris Alfred Cortot, qui sera la pianiste de ce concert et qui a choisit de l’ouvrir en interprétant Variations op. 41 pour piano seul du compositeur ukrainien Nikolaï CAPUSTIN.