Pourquoi Allah me fait vivre ça ?
Quand l’incompréhensible devient une épreuve – À travers l’histoire d’Al-Khidr dans sourate Al-Kahf.

 

Cette conférence inédite aborde une question que l'on a tant murmuré dans dans mon cabinet : « Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi ainsi ? »

 

Une question universelle, mais rarement éclairée avec autant de profondeur psychologique et spirituelle.

À travers le récit bouleversant de Moussa (AS) et de sa rencontre avec Al-Khidr – le bateau abîmé, l’enfant enlevé, le mur reconstruit –, nous explorerons les expériences les plus difficiles à accepter : la perte, le deuil, l’absurde.
Et surtout, nous verrons comment transformer notre rapport à l’incompréhensible pour trouver une paix intérieure durable.

 

Pourquoi cette conférence est-elle faite pour toi ?

1️⃣ Comprendre le vécu psychologique de l’épreuve :
Découvre les mécanismes de défense qui apparaissent face à l’injustice, au deuil ou à l’absence de sens : déni, rumination, hyper-contrôle. Comprends pourquoi ces réactions t’épuisent au lieu de t’apaiser.

2️⃣ Plonger dans l’histoire d’Al-Khidr :
Redécouvre un passage unique du Coran avec une lecture psychospirituelle : trois scènes, trois sagesses cachées, trois miroirs de nos propres douleurs.

3️⃣ Déconstruire les fausses croyances :
Pourquoi associons-nous si vite l’épreuve à une punition divine ? Comment sortir du cercle vicieux culpabilité–injustice–désespoir ?

4️⃣ Développer la tolérance à l’incompréhensible :
En thérapie, on apprend que résister à ce qu’on ne maîtrise pas entretient l’angoisse. Accueillir l’incertitude, c’est s’offrir un espace intérieur plus calme. Dans le regard du croyant, cette même posture devient un acte de confiance en Allah, qui libère de la rumination et ouvre la voie à la guérison.

 

Ce que tu vas en retirer :

 

Pour qui est cette conférence ? Elle est pour toi si :

 

Ce que tu vis n’est pas un verdict final. C’est une étape, parfois dure, mais qui contient en elle une direction. L’histoire d’Al-Khidr nous rappelle que l’on ne voit jamais toute l’image.