>> Samedi 14 juin – 20h00 – Quai 22 (Namur)
Alors que 28 Years Later (28 années plus tard), le très attendu nouveau chapitre de la saga, s’apprête à débarquer en salles, on vous embarque pour une soirée sur grand écran avec les deux films cultes qui ont tout déclenché. Préparez-vous à frissonner, sursauter et surtout… survivre !
Un virus ultra-contagieux ravage le Royaume-Uni. 28 jours après le début de l’épidémie, Jim se réveille seul dans un hôpital abandonné. Londres est déserte… ou presque. Ce qu'il reste de la population est soit infecté, soit caché. Une poignée de survivants tentent de fuir l'horreur et de trouver un refuge.
Pourquoi il faut le (re)voir ?
Un chef-d'œuvre du film d'horreur moderne signé Danny Boyle (Trainspotting, Slumdog Millionaire), qui a redéfini le genre et insufflé une ambiance oppressante et viscérale. Des images de Londres vide à couper le souffle, une tension permanente et une réflexion glaçante sur la nature humaine en situation extrême.
Six mois après les événements du premier film, le virus semble éradiqué. Sous la protection de l’armée américaine, des familles commencent à réintégrer Londres. Mais lorsqu’un porteur sain est découvert, l’enfer recommence. Plus violent, plus intense, et encore plus désespéré.
Pourquoi il faut le (re)voir ?
Un survival haletant et brutal qui pousse le curseur encore plus loin. Juan Carlos Fresnadillo offre un film nerveux, choquant et visuellement puissant, porté par des scènes d'action saisissantes et un climat de paranoïa total.
Deux classiques qui méritent absolument d’être revus sur grand écran, surtout à l’approche de la sortie de 28 Years Later. Si vous aimez les univers post-apocalyptiques, les infectés qui foncent à toute allure, les ambiances oppressantes et les nuits de cinéma où on sort un peu secoué mais ravi : cette soirée est pour vous.
Même si vous n’êtes pas un(e) spécialiste du film de zombies, venez tenter l’expérience. C’est du bon cinéma de genre, qui parle aussi bien des monstres que de nous, et qui vous fera vibrer du premier au dernier plan.
