Un vagabond découvre un coin de rue qu’il choisit comme refuge provisoire; deux barrières symbolisent les portes de son univers, un pont se transforme en bateau et une sculpture devient son compagnon de voyage…
Je souhaite construire ce spectacle comme un poème visuel, rythmé par la neige qui tombe de temps en temps… un peu… un peu plus…. jusqu’à la tempête.
À la fin, tout devient blanc sauf le rouge du parapluie, comme un coquelicot dans un champ de neige, un espoir que le vagabond partage avec la sculpture, son compagnon de solitude.