Au tout début, il y a le désir de parler des peurs, celles d’un enfant au commencement de sa vie et celles d’un vieil homme, à l’autre bout.

La rencontre aura lieu en pleine nuit, dans la convocation de la pleine conscience, du souffle, de la méditation. Respirer (douze fois) porte en filigrane l’attention à l’instant présent et plus avant, la complicité et le jeu des deux personnages.

C’est la joie au milieu des peurs de la mort, de l’abandon, des peurs de ne pas savoir ou de ne plus pouvoir. C’est Jocelyne et Marcelle, ainsi baptisées parce qu’avec des noms pareils, les peurs ne tiennent plus la route. C’est de la musique et des chansons. Et puis un texte à dire, à lire, à partager. (Marie Suel - Autrice de Respirer (douze fois))