Nous pourrions parler très longtemps de l'état intérieur de victime, et de tout ce qui l'entretient.

 

Vous en avez déjà une idée fort précise.

Vous connaissez déjà ce qui entretient en vous les états de victime.

Vous connaissez vos attachements.

Vous connaissez vos revendications. 

Vous connaissez vos plaintes et vos apitoiements. 

Vous connaissez vos frustrations.

Vous connaissez vos désirs déçus, inaboutis.

 

Ce que je souhaite ici vous transmettre, est qu'il existe un espace de libération de cet état spécifique en vous, en chacun de vous. Dès lors que vous reconnaissez cet espace, que vous l'habitez, il n'y a simplement plus de place pour l'énergie de la victime.

Exactement comme quand dans une pièce sombre vous ouvrez une porte et que la lumière entre. Il n'y a alors plus de place pour l'obscurité, tout simplement.

 

Vous pourriez encore analyser durant des années les raisons de l'obscurité dans la pièce fermée. Pendant des années vous pourriez vous battre à coup d'épée, tentant de terrasser cette obscurité, de vous débarrasser de vos blessures. Vous pouvez blâmer maints êtres, maintes institutions, maints systèmes d'avoir créé et d'entretenir cette obscurité.

 

Et vous pouvez aussi ouvrir la porte et laisser la lumière entrer pour vivre une bascule intérieure. Alors il n'y a plus de place pour l'obscurité.

 

-> Cette porte je vous propose de l'ouvrir et de faire cette bascule de conscience ensemble, en expérimentant cet atelier ...