Le prophétique a toujours connu des formes différentes selon les appels des prophètes et les époques d’Israël et de l’Église ensuite. Une saison s’est achevée et nous sommes à la croisée des chemins pour vivre un nouveau mouvement lié aux temps qui sont là et qui viennent. 

Cela vaut la peine de s’interroger sur les différentes couleurs du prophétique aujourd’hui afin qu’il ne soit pas enfermé dans ce que nous connaissons, aimons ou nous sécurise. 

Qu’est-ce qui peut émerger aujourd’hui dans ce domaine et qui est commun à tous et spécifique aux appels ?

Comment peut s’exercer le ministère prophétique quand on parle de la sacrificature selon l’ordre de Melkisedek, de renouveau mystique et d’union, du mouvement de réveil dont parle le prophète Joël, de communautés prophétiques et des maisons de prière ? 

Comment dans ce nouveau cadre, pouvons-nous parler de la collaboration entre le prophétique et l’apostolique ? Est ce que nous savons dire qu’elle est notre couleur ou notre famille prophétique ? Enfin, existe-t-il une couleur ou des couleurs particulières du prophétisme liée à la francophonie ?

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