Le solstice d’hiver marque le point le plus profond de la nuit.
C’est l’instant où l’obscurité est à son apogée… et où, paradoxalement, la lumière commence déjà à renaître.
Lors de cette réception d’énergie, l’intention n’est pas de fuir l’ombre, ni de la transformer, mais d’y descendre pleinement, comme on entre dans une terre silencieuse et fertile.
Là où tout semble immobile, contenu, en gestation.
Dans cet espace intérieur d’obscurité féconde, quelque chose s’éveille.
Non pas progressivement, mais d’un seul coup :
une lumière claire, intime, essentielle, qui n’a pas besoin d’être cherchée.
Cette séance invite à ressentir que la lumière la plus juste ne vient pas de l’extérieur, mais qu’elle surgit précisément du cœur même de ce qui était sombre, invisible ou retenu.
Le solstice devient alors un passage :
un point de bascule subtil où l’âme reconnaît ce qui, en elle, est prêt à naître.
Une réception pour accueillir