Après son 1er EP, des concerts complets (Point Ephémère, Boule Noire – Paris, La Marquise – Lyon), des 1ères parties de Johan Papaconstantino, Hervé et Miel de Montagne et le phénomène « Je t’emmènerai » (6 millions de vues sur les réseaux sociaux, 1,7M de streams), St Graal revient avec un nouvel EP (sorti fin septembre). « Les extraordinaires histoires d’amour de St Graal » portent sa marque : une énergie skate pop avec guitares incisives, pulse électro et voix auto-tunées, un rythme dansant et des textes imagés et romantiques (mais pas que).
Jusqu’ici la chanson française nous avait convaincu que “les histoires d’amour finissent mal en général”. Désormais on pourra rajouter que “les histoires d’amour qui se terminent un jour sont les plus belles de toutes”. Ces paroles percutantes à l’allure de punchline sont (littéralement) le coeur du deuxième EP de Léo Meynard alias St Graal. La confirmation d’un talent particulier découvert en 2021 sur les réseaux avec son tube viral “Les dauphins” aux millions de vues sur TikTok.
Né trop tard pour n’avoir qu’à humer l’air de son temps pour trouver des directions musicales ambitieuses, Jeffers Waldo explore tout avec obsession. Il classe et trie 60 ans de pop musique, en imaginant des ponts improbables entre contrées mélodiques que tout oppose.
Jeffers Waldo propose une electro-pop psychédélique ouvragée avec soin ; une approche musicale inspirée par le courant art-pop britannique, d’une grande théâtralité. Un personnage hybride, comme sa musique, dans lequel apparaîtrait fugacement des éclats de Patrick McGoohan, Brian Eno, Scott Walker, Neil Hannon…