Une soirée très spéciale dédiée à l’Allemagne, avec deux groupes consacrés du nouvel jazz de chez nos voisins : Triosence – mélodique et sophistiqué, et Jin Jim – créatif et virtuose.
Deux sonorités et esthétiques différentes, avec un élément commun dans les compositions très harmoniques, attachantes, qui vont vous suivre après le concert.
Triosence - Jazz, Songjazz, Piano Trio
« la nouvelle visage du jazz allemand », selon le quotidien Stern
Avec plus de 30 millions de streams, des concerts à guichets fermés dans le monde entier et des albums acclamés qui se vendent comme des petits pains, Triosence est l'une des trios de jazz les plus enthousiasmantes d'Europe depuis des années.
Ils ont appelé leur style « songjazz », avec des mélodies fortes et claires, avec lesquelles on quitte le concert en tête et qu'on fredonne en rentrant chez soi. Une musique solaire et généreuse, qui vous offre la sophistication des trios scandinaves et la mélodicité attachante du jazz classique.
Triosence sont Bernhard Schüler (piano et composition), Tobias Schulte (percussions) et le cubain Omar Rodriguez Calvo (contrebasse). Ils viennent de lancer leur nouvel album, le 10eme, « Stories of Life » chez Sony Music, leur label du tout début.
Jin Jim - Jazz, Latin, Rock
« un des groupes avec ascension vertigineuse les plus prometteurs de la scène jazz allemande » (NDR).
Leur succès rapide repose sur l'innovation musicale dont ils ont fait preuve : latin, jazz et rock fusionnent ici avec une force jusqu'alors inédite : une rythmique d'une grande complexité, mais une harmonie accessible, avec des influences allant du flamenco à la musique indienne et à la pop.
Un groupe à l'harmonie parfaite : le guitariste Johann May, le bassiste Ben Tai Trawinski et le batteur Nico Stallmann posent les bases rythmiques sur lesquelles la flûte de Daniel Manrique-Smith peut s'envoler – du son classique rayonnant aux couleurs vives et toujours légèrement aspirées de la musique latino-américaine, en passant par des solos de jazz endiablés. Quand Manrique-Smith fredonne, souffle, beat boxe et chante dans son instrument, on pourrait même penser à Ian Anderson de Jethro Tull.