Auditorium du CYEL - La Roche sur Yon
suivi d'une rencontre avec l'auteur François Beaune
- Une Vie de Gérard en occident, éditions Verticales -
… une vie de Gérard en Occident parle de la France et des Français des années 60 à nos jours.
Gérard me plait. Il est moi, il est vous et il est nous tous avec son regard sur le monde.
Chez lui ça parle, ça pense, ça boit, ça traine, ça vit !
Gérard ne vient pas faire un spectacle. Il passait par là, il a vu une porte ouverte avec des gens assis et il a commencé à leur parler parce que Gérard c’est un gars de la relation, il aime le monde. Même qu’il est toujours fou amoureux de sa femme trente ans après.
Ce jour-là, les gens l’ont écouté parce que c’est d’eux dont il parlait, et puis quand il les a quittés, c’est parce qu’il y avait un autre endroit quelque part ou des gens l’attendaient pour qu’il continue à leur parler.
Tour à tour Gérard se fait conteur témoin porte-parole.
C’est un griot de notre temps.
Gérard POTIER, comédien
La Presse en parle :
Le Canard Enchaîné – M.P. – juillet 2020
« Entre deux gobelets qu’il sort de son cageot et pose à côté d’un cubi de pinard et de chips, il nous abreuve d’histoires marrantes qui, au détour d’une phrase, peuvent devenir tragiques »
Télérama – Emmanuelle BOUCHEZ – juillet 2020
« Cette chronique des années 70, est endossée avec tendresse par Gérard Potier. Ce comédien parle sans esbroufe la langue du terroir. C’est un conteur né. »
La Terrasse – Manuel Piolat Soleymat – juillet 2020
« Gérard Potier nous parle ici des malheurs et des joies, des déterminismes qui orientent le cours des vies ordinaires. Il gagne le pari de la justesse. En toute sensibilité́, il nous transporte du rire au sourire. Et du sourire à l’émotion. »
Elle magazine – Anna Nobili – août 2020
« Journal d’un ouvrier de campagne. Long monologue d’un ouvrier vendéen, Une Vie de Gérard en Occident sonne comme un beau portrait de notre pays »
La Vie – Hugues Le TANNEUR – juillet 2020
« Suspendu à son récit, on est littéralement embarqués par ce Gérard dont on se dit qu’on pourrrait vite le ceoiser quelque part tant ses histoires livrées sans fard racontent le monde tel qu’il est. Cela pourrait être rasoir, mais c’est passionnant. »
