Derrière le cache de son boîtier photo, Laurent Hou nous emmène pour partager ses nuits blanches dans la Chine du milieu des années 2010. On traîne alors dans les vieilles ruelles traditionnelles qui abritent des bars et autres lieux éphémères. Des salles de concert accueillent des marginaux qui y branchent leurs amplis et leurs espoirs de fortune. En noir et blanc, sobre, efficace, près de son sujet, Laurent ramène à Toulouse l’essence des nuits pékinoises : « Cet univers était pour moi une véritable famille élargie. Même sans appeler personne, en allant à un concert, je savais que j’y retrouverai des amis ».
Du 4 avril au 29 avril, du mardi au samedi, de 18h00 à 2h00, entrée gratuite (sauf soirs de concerts)