Shibari, Kinbaku, bondage … peu importe le nom. Qu’est ce que ça raconte ? Qu’est-ce que ça produit ?

 

Quoi qu’il arrive, ça consiste en : des gens (plusieurs ou pas) des cordes (ou un objet qui s’y apparente), de la communication, et du pouvoir. Une pratique qui nous confronte aux rapports de pouvoirs, toujours présents, souvent invisibilisés, et nous permet d’apprendre par le jeu à se résponsabiliser, s’en amuser ensemble, sous l’egide du respect, du consentement, et d’une expérience positive pour toustes.

 

Un atelier d’initiation pour prendre des cordes en main, s’emparer des questions que la pratique soulève, et vivre dans les cordes et dans les corps une expérience sensible qu’aucun discours ne remplacera. Pour ne pas aller trop vite en besogne, votre premier modèle sera vous même : un atelier de self- bondage, pour sentir soi-même ce que ça fait. Relationner avec soi même avant d’envisager une relation avec autrui

Possibilité, pour celleux qui voudront, de s’initier à des jeux à deux. Mais doucement : les cordes ont un pouvoir émotionnel fort, la vigilance est de mise et l’enthousiasme est vite le pire ennemi de la sécurité.