GNÔ s’est toujours amusé à brouiller les pistes, à se jouer des modes, mélangeant dans sa marmite des influences variées et assumées, pour en faire un style unique et reconnaissable. Ce rock hybride teinté de Metal, de pop, de funk et bien d’autres influences, est devenu au fil du temps leur signature. Leur maîtrise musicale sans faille a toujours fait l’unanimité autant chez les musiciens que le public, poussant le trio a se dépasser sans relâche. ALBUM STEREOFISH (Décembre 2020 / Millennium Art & Music) Le cinquième opus de Gnô confirme une évolution amorcée avec l’arrivée de Julien Lacharme. Une production à la hauteur de grosses sorties internationales ainsi que des titres plus directs et immédiats font de Stereofish un des album rocks les plus remarqués de cette année. Les 13 titres évoquent tour à tour Muse (Slumdog), Audioslave (Too many faces, Our worlds collide), King’s X (Heroshima, Counting spiders) ou Alice in Chains (Smile).

Des sonorités brutes et des riffs rugueux provoquent une pesanteur typiques du grunge. Stereofish se révèle plus rock que metal tout en conservant sa démarche pop. Créé à l’aube de l’an 2000 par Christophe Godin, Peter Puke et Gaby Vegh, Gnô est rapidement devenu culte parmi les fans de Power Rock Mélodique teinté de grosses guitares ! Forts de leurs 20 ans d’existence, de plus de 300 concerts dont de très belles collaborations (Poppa Chubby, Ron Thal, Uli Jon Roth, TM Stevens, Dr Feelgood, Arno Strobl…) et 5 albums studio, ces musiciens exceptionnels n’ont rien perdu de leur énergie et leur créativité.

Ils se permettent même d’aller enregistrer leur dernier opus au Royaume-Uni, dans les légendaires Real World Studios de Peter Gabriel. Après leur 3 premiers albums, « Trash Deluxe », « Cannibal Tango » et « Crass Palace », Christophe Godin cède sa place guitaristique à Julien Lacharme (Guitare lead chez Alpha Blondy). S’en suivent l’album « Sick Princess » et le dernier né, « Stereofish » plébiscité par la presse et les fans.